Interview : INTERVIEW [24H EMPLOI FORMATION / ARRAS] ACTUA PAR KARINE GRIGNON
ACTUA participe le mardi 1er mars 2022 à la huitième édition des "24h pour l'Emploi et la Formation" à l'Artois Expo à Saint-Laurent-Blangy (Arras). L'occasion de se pencher sur les opportunités offertes par cet organisme au travers de l'interview de KARINE GRIGNON, Manager d'agence.
Comment s’est passé votre première participation aux « 24H pour l’Emploi et la Formation» ? Qu’attendez-vous de cette édition ?
J’y ai participé un peu avant la Covid ! Beaucoup de monde mais nous n’avons pas pu gérer correctement les CVs car nous étions confinés quelques jours plus tard. Je veux faire connaître mon agence ACTUA et rencontrer les candidats à la recherche d’emploi, trouver des personnes motivées à la recherche d’un travail et pouvoir les aider.
Quels types de profils recherchez-vous ? Dans quels secteurs en particulier ?
Nous sommes une agence généraliste, nous touchons à la Restauration collective, la logistique, le tertiaire et la production. Nous gérons également les besoins de personnel qualifié en CDD et CDI. Nous sommes ouverts aux profils disponibles et motivés !
Quels conseils pourriez-vous donner aux candidats qui viendront à votre rencontre ?
Soyez vous même et de bonne humeur et souriant : Nous sommes là pour un premier contact bref donc soyez concis. Ayez en tête différents postes que vous souhaitez occuper. Nous pourrons vous aider ou vous orienter. Ne soyez pas stressés nous sommes là pour faire votre connaissance et discuter, pas de pression !
La crise sanitaire a-t-elle eu un impact sur votre activité ?
Bien sûr nous travaillons différemment, plus par téléphone ou en visio mais l’activité s’est intensifiée. La Covid est néfaste mais les entreprises gardent leur projet recrutement ce qui est plutôt «positif». L’économie est dynamique malgré la rupture de certains produits ou matériaux, les demandes de personnel intérim ou CDD/CDI sont présentes. A nous de jouer !
Comment expliquez-vous la pénurie de candidats sur certains métiers ? Et comment faire pour y remédier ?
Je pense que le premier confinement a permis aux personnes de faire un point sur leur vie professionnelle et leur avenir. Ils ont vu d’autres horizons ou perspectives et cela à amener des démissions, des ruptures conventionnelles surtout dans la restauration. Il faut reposer les avantages et les inconvénients et redorer l’image de ces postes très durement touchés. Accentuer aussi la formation à mon goût pas assez «médiatisée» en parler c’est peut être créer des vocations ou donner l’envie aux jeunes d’essayer des métiers en voie de disparition.
Pour plus d’informations, contactez Karine Grignon / k.grignon@actua.fr