Il y a ceux qui veulent construire des murs. Il y a ceux qui les peignent. D'autres voient dans le béton, un moyen de se protéger de nouveaux horizons. Et ceux pour qui l'escalade ne représente que l'obstacle à la vue d'une nouvelle vie. Il y a la dictature, les obéissants, les rassurés de n'avoir plus à penser. Il y a ceux qui les plaignent, il y a les résistants. L'époque semble nous imposer des camps que même les plus humanistes ne savent plus conspuer, où chacun est sommé de venir se replier.
La campagne aujourd'hui est lancée, et le blé que sa fortune produit placé dans un panier mis à nu, découvert et les supercheries sont vues. Encore, il faut choisir son camp, plutôt que la clé des champs. Et puis il y a d'autres idées, certains modes de pensées, qui font fi du chaos et font leur le « créons ».
Chez L4M, c'est notre parti pris. Créons, ensemble, les solutions qui permettent à chacun son émancipation.
G. Deprecq
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