Interview : Business Developer
Antoine nous parle de son expérience en tant que Business Developer !
Antoine a 29 ans. Et après quelques expériences en tant que commercial et chargé de recrutement, une opportunité s’est offerte à lui pour devenir Business Developer.
Pourquoi avoir choisi cette voie ?
C’est une opportunité que j’ai saisie. Après avoir découvert Battlekart lors d’une soirée d’anniversaire que j’ai organisée, j’étais convaincu du potentiel de la prestation. J’ai rencontré le dirigeant à plusieurs reprises, on a discuté de la possibilité de travailler ensemble. Ça représentait une prise de risque pour moi. J’avais l’opportunité d’avoir un emploi stable et rémunérateur, mais la conviction que ce projet allait marcher était là aussi. C’est petit à petit que j’ai consacré plus de temps à cette activité de Business Developer, pour aujourd’hui en vivre complètement. Je travaille aussi pour d’autres structures des activités récréatives (comme Enjoy laser par exemple).
Quelles sont les principales qualités d’un bon Business Developer ?
La curiosité, la force de persuasion bien sûr et puis surtout l’écoute. Il faut savoir écouter son client et ainsi l’amener à bien détailler sa demande. Le but est de bien comprendre sa problématique et son besoin pour y répondre le mieux possible.
Le métier de Business Developer est-il à la croisée de plusieurs disciplines ?
Oui, le métier nécessite d’avoir des connaissances dans beaucoup de domaines… Ça va du commerce au marketing, du community management, de la communication en passant par le graphisme ou la création de site internet et même la comptabilité !
Y aurait-il une formation idéale pour exercer ce métier ?
Non, justement, je pense qu’il n’y en a pas même si cela peut aider au début ! On peut tous se découvrir bon commercial à travers un produit qui nous plaît. Quand on est convaincu, on est d’autant plus convaincant ! C’est aussi la curiosité et les formations complémentaires qui permettront de toucher un peu à tout.
Est-ce un métier stressant ?
Oui, mais pas au sens de « stress » comme on peut le ressentir dans une entreprise classique, avec un N+1 par exemple. Le stress n’est pas le même. Ici, on produit son propre stress : de par son envie d’avancer, de travailler, de proposer de nouvelles choses mais aussi de se rémunérer correctement à la fin de chaque mois… Ce n’est pas la même chose que de subir la pression du résultat qu’une autre personne nous impose.
Et puis il y a beaucoup de côtés positifs : la rencontre avec les gens, les déplacements, les découvertes et surtout la souplesse de l’emploi du temps !
Retrouvez Antoine pour vos événements : http://www.catalyseevents.fr/