<p class="justifie">Lors de sa visite d’urgence à Calais vendredi dernier, le premier ministre Edouard Philippe, en a profité pour discuter des moyens à mettre en œuvre en conséquence d’un éventuel Brexit sans accord. Eurotunnel et le port de Calais ont déjà lancé l’aménagement d’un centre provisoire pour des contrôles frontaliers, douaniers et vétérinaires qui devront être prêts avant le 29 mars. Et ce sont les douaniers, qui seront les premiers concernés et dont le renfort sera plus que nécessaire.</p><p class="justifie">Un recrutement de masse de ces derniers est prévu sur le port de Calais et sur le site du tunnel sous la Manche. Du côté du port de Calais, alors que 64 douaniers y sont déjà basés, 55 douaniers supplémentaires les rejoindront avant le 29 mars. Pour ce qui est du tunnel, 65 douaniers viendront rejoindre les 300 déjà sur place. En plus de cet agrandissement, 30 agents seront chargés des opérations commerciales au bureau centralisateur.</p><p class="justifie">Ainsi, ce sont près de 120 douaniers qui seront recrutés en très peu de temps dans la région.</p>
Face au succès commercial de sa Yaris, l'usine Toyota Onnaing recrute des agents de production en montage, peinture, qualité, logistique en contrat intérimaire ou de professionnalisation !L'agence Crit de Valenciennes, partenaire de Toyota depuis de nombreuses années, recherche des opérateurs de production. Vous pouvez adresser vos candidatures en consultant les annonces ici"Toyota c'est aussi des possibilités d'embauches en CDI , avec plus de 450 embauches en trois ans, toutes issues du travail temporaire" Crit intérim.
Les Hauts-de-France participent au Salon "48h pour l'emploi" à Lomme pour porter la dynamique de créations d'emplois dans le secteur du numérique.Si les métiers du numérique vous intéressent, ne manquez pas notre Salon 48h pour l'emploi et la formation, qui se déroule à Lomme (59) les 24 et 25 janvier prochains. L'occasion de rappeler que dans le secteur, 3 000 emplois (accessibles pour tous profils et tous niveaux d'études) ne trouvent pas preneur dans les Hauts-de-France !Un village numérique et digitalPartenaire de l'événement, la Région Hauts-de-France s'installera au "village des métiers et formations" dédié aux filières du numérique et du digital, le 25 janvier 2019.Demandeurs d'emplois ou personnes en reconversion, vous trouverez à Lomme toutes les infos pour faire les bons choix en matière de formation et profiter des débouchés dans les métiers du numérique. Échangez aussi avec les professionnels qui recrutent : un club d'entreprises de service numérique (ESN) sera également sur place.Des emplois à pourvoirComment attirer davantage de personnes vers les métiers du numérique, qui recrutent massivement en Hauts-de-France ? La Région a mis en place l'École numérique régionale. Ce dispositif vise à proposer à l'échelle des Hauts-de-France des formations professionnelles, rapides et appliquées (3 à 6 mois, en petit groupe), gratuites et sans prérequis de diplôme. Ces formations portent sur des compétences techniques, pour ensuite postuler sur des emplois de :développement web/logicielweb designcommunity managemente-commerceweb-marketingcybersécuritéLes métiers du numérique seront donc au cœur du Salon 48h pour l'emploi, le vendredi 25 janvier 2019 de 9h30 à 17h30 au Kinépolis – 1 rue du Château d’Isenghien à Lomme. www.48h-emploi-formation.com/lomme-2019Source de l'article
À l'occasion de ses 30 ans, le Parc Asterix a prévu une année très animée. Pour s’y préparer, son premier hôtel "Trois Hiboux" a été agrandi.Ensuite un second hôtel a été créé, dont la première partie, perchée dans les arbres est appelée : La Cité Suspendue. Ouverture des portes pour cette nouvelle saison (150 chambres).Pour répondre à cet agrandissement, le Parc a annoncé une vague de recrutement massif : plus de 1 000 postes sur des métiers très variés : - De l’accueil, - des métiers artistiques (comédien, cascadeur, maquilleur, habilleur, régisseur…), - de la vente (manager et assistant manager boutiques, vendeur conseil, hôte de caisse, conseiller commercial, télévendeur), - de la technique (technicien de maintenance, agent de maintenance, agent de propreté).Les profils recherchés sont eux aussi diversifiés : à temps plein ou à temps partiel, en fonction des disponibilités des candidats, qu’ils soient débutants, jeunes diplômés ou candidats expérimentés.Si les candidatures sont déjà ouvertes il est à préciser que la majorité des prises de postes se feront à partir du mois de mars 2019. Ce démarrage prévoit une période de formation et d’intégration avant la réouverture du parc le 6 avril.
Cette enseigne nordiste (qui appartient au groupe Mulliez) jouit aujourd’hui d’une renommée importante auprès des candidats à la recherche d’emploi dans la Région. Sa popularité n’a fait que progresser depuis quelques années et selon le Responasable de la Communication Humaine (rattaché au service RH) Kamel Medjabra, ce n’est pas un hasard :« Nous ne sommes pas à la recherche d’un profil particulier, nous embauchons des personnes d’horizons divers. Peu importe leurs études ou les diplômes qu’elles ont ou qu’elles n’ont pas. Le critère essentiel, c’est la passion du sport. Nous ne voulons pas des athlètes de haut niveau mais des gens qui ont la fibre sportive, qu’ils travaillent en magasin, à la logistique, aux services ou pour les marques. On fait évoluer nos collaborateurs dans un environnement qu’ils connaissent afin qu’ils soient pertinents face aux clients. Et c’est ce que nos clients apprécient chez Decathlon. Il n’y a pas de parcours type [à Decathlon], 50% des directeurs de magasin sont entrés soit en stage, soit en alternance soit en CDI temps partiel (job étudiant). Et 46% des anciens vendeurs sont devenus responsables de rayon.» Cette stratégie semble en effet payante puisqu’en 2018 le groupe a recruté 3 266 personnes rien que dans la région.Et cette année 2019 commence avec de belles perspectives puisque 154 postes sont déjà à pourvoir dans la région (près de 2300 sur toute la France, avec environ 70% de contrats en CDI).Si vous voulez postuler sachez que Decathlon recrute toute l’année, avec des pics d’activité pendant les vacances d’hiver et d’été. 70% des offres d’emploi concernent le retail: des vendeurs/euses et des responsables de rayon. Les 30% restants se répartissent entre les entrepôts, les services et les autres marques de Decathlon, presque toutes présentes dans la région.Vous pouvez d’ailleurs les retrouver lors de leur prochaine session de recrutement au salon « 48h Emploi Formation » qui se tiendra le 24 et 25 janvier au Kinnépolis de Lomme, pensez à venir avec de nombreux CV !
Cette entreprise familiale est en service depuis 1937. Elle est aujourd’hui dirigée par Thierry et Yann Thomas, avec le soutien de plusieurs membres de la famille.Ce groupe dispose déjà d’ateliers disséminés en France et emploie 1 300 salariés. La Maroquinerie Thomas est le leader européen de la sous-traitance dans le luxe et travaille notamment pour Vuitton, Chanel et Hermès.Dans la poursuite de son développement, cette organisation prévoit l’installation de son nouvel atelier dans la zone Actiparc, à l’entrée nord d’Arras. Cela représente un investissement de 6 millions d’euros, pour la création d’une surface de travail de près de 3 000m².Cet accroissement d’activité va permettre d’embaucher environ 250 nouveaux salariées sur 4 ans.
Ce leader européen de la formation à distance, propose plus de 200 formations en ligne. Il poursuit son développement en étendant ses bureaux de Valenciennes pour passer de 2 000 à 3 500 m2.Aujourd’hui, 260 conseillers travaillent sur ce site de Valenciennes, soit la plus importante implantation du groupe Skill And You qui compte 500 salariés."Avec 100 000 élèves, on est le plus gros campus de France, certes virtuel. (…) On est spécialisé sur les métiers en tension » indique le président de Skill And You, Éric Petco. Il souligne également que "le e-learning se développe très, très bien. On a une croissance forte".Pour répondre à cet agrandissement et à la croissance, l’entreprise a prévu de recruter 80 nouveaux salariés.
<p class="justifie">Xavier Bertrand, président des Hauts-de-France a fait de l’emploi une des priorités de son mandat. Ainsi, il applique ses engagements avec une nouvelle politique visant « à répondre aux besoins de toutes les entreprises à tous les stades de leur vie : création, développement, transmission, consolidation... », résume Laura Marzouk, conseillère en charge des questions économiques au conseil régional.</p><p class="justifie">C’est une nouvelle politique dont a bénéficié la société Safran-Airfols Advanced Solutions qui vient d’ouvrir des nouveaux bureaux à Sars-et-Rosières et qui grâce à l’aide de 673 000€ de la part de la Région, a pu créer 135 emplois à pourvoir dans les quatre prochaines années à venir. C’est aussi le cas pour l’industriel chinois Yongsheng (dentelle de Calais) qui grâce à 600 000€ d’investissement, va pouvoir créer 77 emplois. Deux exemples parmi d’autres, étant donné que 25 entreprises avaient connu ces mêmes aides en octobre et qui ont engendré la création de près de 500 emplois.</p><p class="justifie">Ces aides aux entreprises se traduisent sous forme d'avance remboursable, de subvention directe ou de financement pour la formation professionnelle.</p>
<p class="justifie"><span>2019 ne sera pas une année en manque d’emplois à offrir ! En effet, cinq secteurs en plein essor et bourrés de ressources seront très attractifs encore cette année. Et c’est d’abord le cas du secteur du commerce. Avec ses 71 000 entreprises et ses dizaines de grandes enseignes comme Auchan, Decathlon ou encore La Redoute, la Région est prête à recruter encore beaucoup d’employés de libre-service, d’hôtes de caisses et de vendeurs pour assurer son secteur commercial. Du côté de l’industrie, premier employeur de la Région, l’automobile, le ferroviaire ou encore l’agroalimentaire devra compléter ses 26 800 salariés actuels pour rester compétitif. Le secteur du bâtiment a également besoin de bras, des postes très variés pour tout type de formation sont ainsi proposés chaque année, à savoir d’ailleurs, que les postes sont ouverts aux femmes de plus en plus. Enfin, deux autres secteurs sont dans le besoin : les services à la personne, un secteur qui pourtant peine à recruter malgré une demande de plus en plus importante (l’entreprise multi-services 02 embauchera d’ailleurs, encore cette année entre 800 et 900 personnes en CDI dans la Région). Enfin, avec des géants internationaux comme Amazon ou Kiabi, les Hauts-de-France est la première région logistique de France avec ses 13 millions de m2 d’entrepôts, un besoin de main d’œuvre indispensable donc à l’heure où le commerce en ligne se fait de plus en plus utilisé. </span></p>
<p class="justifie">Le début d’année est une période cruciale pour l’orientation des étudiants ! Voilà pourquoi le Salon de l’Etudiant et du Lycéen de Lille est le rendez-vous incontournable de milliers de jeunes. Du 10 au 12 janvier prochain, Lille Grand Palais ouvrira une nouvelle fois ses portes à des centaines d’écoles, universités, lycées, représentant au total 330 exposants pour des formations en initial ou en alternance et permettant aux jeunes de se renseigner un maximum sur leur future école. Ce salon est aussi l’occasion pour eux d’obtenir des informations sur les bourses, les logements et la sécurité sociale, par exemple.</p><p class="justifie">Et chaque année, le Salon met en avant un secteur d’activité porteur. Pour cette nouvelle édition, c’est le domaine de l’intelligence artificielle qui est mis à l’honneur au sein d’un espace qui lui sera entièrement dédié. Au sein de cet espace, des écoles, des centres de recherches et des entreprises venus renseigner les visiteurs.</p><p class="justifie">Egalement, près de 42 conférences seront mises en place durant les 3 jours et abordant tout type de secteurs d’activité, allant du numérique à la santé, en passant par la mode, la communication ou encore le commerce et les banques.</p><p class="justifie">Le Salon de l’Etudiant c’est du 10 au 12 janvier 2019, à Lille Grand Palais, de 9h à 18h et au tarif de 7€ si vous n’avez pas encore d’invitation.</p>
<p class="justifie">Après un an d’étude sur les besoins des entreprises tout comme ceux des habitants de la région Hauts-de-France, la Région, le rectorat et Pôle Emploi ont permis la création de 13 contrats de branches impliquant 70 branches professionnelles. Une démarche inédite en France.</p><p class="justifie">À chaque secteur d’activité son contrat de branche en lien avec la réalité économique des Hauts-de-France et pour répondre aux attentes des entreprises. Pourquoi ? Car 240 000 personnes sont formées chaque année dans la Région et régulièrement, elles sont face à des secteurs qui peinent à recruter. Ainsi, ces contrats de branche généreront des formations utiles, claires et efficaces permettant de lutter contre le chômage et booster le développement économique de la Région. Autre ambition de cette création de contrats : rendre la formation plus attractive.</p><p class="justifie">Les filières concernées sont celles de l'industrie, des bâtiments et travaux publics, de l'agriculture, des transports, de la santé, du social, du numérique, de la sécurité, de la communication, de la propreté, du tourisme, de l'artisanat, et d'autres encore.</p>
<p class="justifie">Fin novembre a eu lieu la 45ème finale nationale des Olympiades des Métiers à Caen. Première étape avant l’unique compétition internationale des métiers qui se passera cette fois à Kazan en Russie. Elle permet à de jeunes professionnels venus du monde entier, champions nationaux dans leur métier, de se mesurer lors d’une compétition internationale organisée sur un même site. Pendant quatre jours, près de 1 300 candidats issus de 77 pays mesurent leur savoir-faire dans près de cinquante métiers et donnent le meilleur d’eux-mêmes pour tenter de monter sur la plus haute marche du podium. Au total, ce sont 50 métiers et domaines comme la robotique, l’horticulture et la chaudronnerie, répartis en 7 pôles qui se confronteront.</p><p class="justifie">Durant la finale nationale à Caen et parmi la délégation des 65 jeunes de la région Hauts-de-France, ce sont 16 jeunes de moins de 23 ans qui ont été médaillés pour leur savoir-faire dans différents domaines dont 9 qui ont été médaillés d’or, majoritairement dans les métiers industriels.</p><p class="justifie">Prochaine étape donc pour nos jeunes, la Russie !</p>
Pour bien finir l’année 2018, la Communauté de Communes de Flandres Lys (CCFL) accueille Cougnaud, une entreprise nouvelle dans la zone d’activité Paradis.Initialement basée en Vendée, cette société qui emploie déjà 1 250 personnes va donc construire un hall industriel sur 3 000m² et un espace tertiaire sur 250m² à Lestrem.Ce groupe, spécialisé dans la construction de bâtiments modulaires, promet la création de 100 emplois dont une vingtaine dès le démarrage de l’activité.« Cela représente un investissement de plus de 4 millions d’euros », indique le président de la CCFL Bruno Ficheux. « C’est le meilleur coup économique de la [Communauté], et ils n’ont pas décidé par hasard de venir s’implanter dans notre intercommunalité de 8 communes. Cela représente beaucoup de travail, de contacts… »Avec l’installation de l’entreprise LMS dans le même secteur en ce début d’année 2019, la « zone est maintenant bouclée », selon Bruno Ficheux, qui signale par ailleurs que la CCFL a besoin de terrains pour accueillir de nouvelles entreprises, synonymes d’emplois.
Selon les informations du Courrier Picard, l’année 2019 sur le plan de l’emploi devrait être favorable sur la Métropole Amiénoise avec le lancement du chantier d’Ynsect, la livraison de Chronopost et de Paprec, puis l’attente de confirmation de Showroomprivé sur l’ancien site de l’usine Goodyear fermée en 2014.En effet, la société Ynsect (experte dans la production de protéines naturelles d’insectes destinées à l’aquaculture, à la nutrition des animaux de compagnie et aux plantes) lancera cette année, la construction d'une ferme sur une parcelle agricole située à Poulainville (proche d'Amiens), la mise en service de celle-ci est prévue en 2020, et aura à terme la création d'environ 80 emplois dès le lancement de son activité (dont la moitié en recherche et développement). « Ce projet industriel innovant est une excellente nouvelle pour Amiens et son agglomération » explique Alain Gest, Président d’Amiens Métropole.Alain Gest explique aussi que l’arrivée du groupe Paprec, leader Français du recyclage qui s’est porté acquéreur d’une parcelle 9 000 mètres carrés de bâtiment et quatre hectares de foncier sur le site de l’ancienne usine de pneumatiques Goodyear est une très bonne chose « D’abord pour les personnes qui vont y trouver un emploi dans une très belle entreprise qui a déjà fait preuve de son dynamisme dans la région. Mais c'est aussi le premier acte du renouveau d’un site industriel qui a malheureusement été le plus souvent associé dans le passé aux licenciements massifs qu’à la création d’emplois ».D'autre part, la métropole amiénoise conforte sa position attractive dans le domaine de la logistique avec l’ouverture dans les prochains mois d’une nouvelle agence de Chronopost. La situation géographique, l’accessibilité, la présence de donneurs d’ordre de premier rang, la disponibilité foncière et les compétences locales positionnent Amiens dans les short lists des candidats à l’installation de nouveaux sites en France et plus particulièrement au Nord de Paris. À la clé de ce nouveau site, une vingtaine d’emplois.Et pour finir, en termes de création d’emplois, il y a la négociation pour l’arrivée de Showroomprivé.com afin d’y installer une plateforme logistique. Autant dire que cette année 2019 sur le territoire d’Amiens- Métropole sera riche en actualité !
Commerçants, TPE et artisans de la région Hauts-de-France, si vous hésitiez encore à lancer votre boutique en ligne, en 2019 lancez-vous ! Et c’est notre Région qui le dit…En effet, en 2019, alors que l’e-commerce permet aux entreprises une augmentation de leur chiffre d’affaires de 40%, la Région va proposer un soutien financier destiné aux entreprises voulant investir dans le commerce en ligne. L’occasion pour ces TPE et PME d’être compétitives et de se développer plus rapidement.Ainsi, ce soutien financier (sous forme de subvention), permettra aux entreprises concernées de financer entre autres :La mise en place d'un site de e-commerce,Une caisse ou un terminal de paiements connectés,Des solutions de collecte ou de gestion de données,Les frais d'achat ou de mise en place de logiciels spécifiques,Des outils favorisant le travail collaboratif.Pour profiter de cette subvention, trois conditions sont à respecter : avoir une entreprise existante, avoir moins de 10 salariés et réaliser un chiffre d’affaires annuel inférieur à 1 millions d’euros. Si vous respectez ces conditions, le coût de votre investissement pourra être financé à 20% par la Région !Et pour accompagner cette « réforme », une convention signée entre la Région et l’entreprise e-monsite permettra d’établir en 2019 une dizaine d’événements de sensibilisation pour les TPE, artisans et commerçants.
<p class="justifie">Booking.com, le site international de réservation de voyages, prévoit son déménagement pour mai 2019 ! Alors que le chantier a démarré en octobre 2017 sur la place Sébastopol de Tourcoing, les travaux devraient se terminer en février prochain pour une ouverture aux salariés en mai.</p><p class="justifie">Les trois étages du nouvel immeuble accueilleront le gigantesque service client de l’entreprise, recevant des appels du monde entier. Outre les vastes espaces de l’immeuble et son aménagement alliant modernité et détente, des commerces seront implantés au rez-de-chaussée afin de redynamiser le quartier. Côté pratique, Booking souhaite inciter ses salariés à ne pas utiliser la voiture en privilégiant les transports en commun, proches du nouvel immeuble.</p><p class="justifie">Avec ses 450 collaborateurs actuels, Booking.com vise maintenant le double pour 2020, soit environ 880 collaborateurs, ce qui ferait de Tourcoing le premier site de réservation en Europe.</p>
<p class="justifie">Le Groupe Velux, spécialiste de la fenêtre de toit, a annoncé qu'il allait investir 4 millions d'euros pour agrandir son unique centre d'expédition situé à Feuquières-en-Vimeu en Picardie. Ainsi, la surface de l’entrepôt passera de 9 000 m2 à 15 000 m².</p><p class="justifie">Ce leader mondial qui emploie déjà 360 personnes dans l'usine, promet 25 nouvelles embauches suite à cet agrandissement, et ce, dès la mi-2019.</p><p class="justifie"><em>"On va recruter des préparateurs de commandes, des conducteurs de chariot. On va aussi recruter des gens en production puisqu'il y a des gens de production qui vont évoluer vers les postes de logistique et les postes de production, ça peut être dans le bois, dans le vitrage, sur le montage et on va recruter quelques administratifs aussi, tout ce qui est organisation de nos tournées de distribution"</em> explique la directrice des ressources humaines, Béatrice Froment.</p><p class="justifie">Selon le président de VELUX France, Benoît Fabre :<em> « Nous nous devons d’optimiser en permanence nos coûts logistiques afin de maintenir des produits de qualité à des tarifs accessibles, tout en garantissant à nos clients un niveau de service parmi les meilleurs. La ré-internalisation de prestations logistiques jusqu’ici externalisées et la localisation de l’ensemble des prestations logistiques à proximité immédiate de notre principal site de production en France, répondent naturellement à ces deux objectifs »</em>.</p><p class="justifie"> </p>
Avec une croissance de 20% chaque année, le secteur numérique recrute massivement, à tous les niveaux de compétences. Pour faire face aux besoins importants des entreprises sur ces métiers nouveaux, la Région, déjà fortement mobilisée, veut aujourd’hui aller encore plus loin. En effet, les élus viennent d’adopter le plan « LeNumériqueRecrute@hautsdefrance ».Celui-ci va servir à faire remonter et préciser au maximum les besoins pour mettre en relation les entreprises qui recherchent et les candidats avec les compétences pertinentes. La Région va fédérer et mobiliser l’ensemble des parties prenantes pour répondre à cet objectif : l’Etat, les Universités, Pôle emploi, les collectivités…Ce plan pourrait permettre de former 3 000 personnes supplémentaires chaque année, y compris par la voie de l’apprentissage.Pour compléter cette démarche, de multiples actions de promotion et de communication seront mises en place pour rendre ces carrières plus attractives. L’une des cibles principales étant les femmes qui ne représentent aujourd’hui qu’entre 10% et 20% des recrutements.
<p class="justifie">Cette jeune entreprise qui construit des robots pour les entrepôts de e-commerces prévoit de déménager de Lille à Croix pour gagner de l’espace en prévision de sa nouvelle ligne de production. Cette nouvelle installation promet de créer des emplois.</p><p class="justifie">Ces robots ont pour objectif d’éviter aux préparateurs de commande, des kilomètres de marche en poussant des chariots lourds. En effet, ils apportent les caisses chargées de produits directement auprès de l’employé. </p><p class="justifie">De plus, « Skypod » le nouveau modèle conçu par Exotec, peut aller chercher un bac à 10 m de haut dans des rayonnages spécialement adaptés alors que le préparateur ne peut attraper des articles qu’à 1.80m de hauteur maximum.</p><p class="justifie">L’entreprise vient de signer un beau contrat avec Cdiscount qui va équiper ses entrepôts avec le robot nordiste. Romain Moulin laisse entendre que d’autres grands noms du commerce en ligne devraient s’équiper de tels robots dans les prochains mois.</p><p class="justifie">Ce développement intensif a rapidement fait grandir l’entreprise, passant d’une douzaine de salariés il y a un an, à vingt cette année. <em>« Il va falloir rapidement passer à trente »</em>, prédit Romain Moulin <em>« Nous aurons besoin de gens pour la </em>[nouvelle]<em> chaîne de montage </em>[à Croix]<em>, la vérification, les tests, le déploiement des installations »</em>. Même avec des robots, le e-commerce a toujours besoin de bras.</p>
« En route pour l’emploi » est un dispositif mis en place par la région Hauts-de-France depuis 2 ans afin d’aider les demandeurs d’emploi.En effet, la question des mobilités est centrale pour de nombreux demandeurs d’emploi ou travailleurs modestes. Pour 2 € par jour, le Conseil Régional met à disposition une voiture pour les personnes qui ont retrouvé un travail et qui ont des difficultés pour réaliser les trajets domicile-travail. Quelle sont les conditions pour bénéficier de cette aide ?Il faut avoir trouvé « un CDD de 3 mois et plus (y compris intérim), un CDI à temps partiel ou complet, un contrat par alternance, une convention de stage en entreprise, un contrat ou convention pour une immersion en entreprise, un contrat aidé ou un chantier d’insertion »;Il faut toucher maximum 2 600 € brut par mois pour pouvoir y prétendre;Il faut être détenteur d’un permis de conduire B valide;Il ne faut pas avoir de transport en commun près de son domicile et/ou lieu de travail ou avoir des horaires qui constituent une contrainte pour les utiliser. (Le prêt du véhicule peut aussi se faire si le vôtre est en panne ou si le ménage n’en dispose que d’un seul.)Quelles sont les conditions d’utilisation du véhicule ?La Région prête ses véhicules pour 2 euros par jour avec l’assurance prise en charge par la collectivité territoriale;L’essence est à la charge du bénéficiaire tout comme les frais de péage et de parking, ainsi que les éventuelles amendes;La période du prêt de la voiture est fixée à 1 mois maximum, renouvelable une seule fois. Elle correspond souvent à une période d’essai;Les déplacements ne peuvent être effectués que dans la Région Hauts-de-France.