<p class="justifie">Vendre des bijoux grâce à une après-midi entre copines (ou pas…) c’est ce que propose l’entreprise de vente à domicile Victoria Bijoux. L’enseigne propose continuellement un catalogue de plus de 450 bijoux que l’on peut se procurer en participant à la vente à domicile d’une vendeuse de la marque. Elle convie chez elle amies, proches, famille qui se verront présenter et tester les bijoux le temps d’une après-midi.</p><p class="justifie">Les profils des vendeuses sont divers : des esthéticiennes, des coiffeuses, des personnes en recherche d'emploi qui restent en moyenne 18 mois dans l’entreprise. La vente à domicile leur permet ainsi de récupérer 20% de leurs ventes, un complément de salaire qui n’est parfois pas négligeable.</p><p class="justifie">Étant donné que les ventes de Victoria Bijoux se font plus importantes entre octobre et décembre (50% de son chiffre d’affaires se réalise sur cette période), la société est actuellement à la recherche de 12 personnes dans le secteur de Calais.</p>
<p class="justifie">Ce vendredi 12 octobre a eu lieu une session de recrutement chez Boulanger afin de recruter une soixantaine de personnes en CDI et en CDD sur deux de ses sites des Hauts-de-France : Tourcoing et Villeneuve d’Ascq. Les métiers proposés sont principalement des postes dans le domaine de la relation client. Et pour cette période d’embauche, Boulanger est clair : les recruteurs recherchent des passionnés, des personnalités, le CV passant parfois après et l'accent est mis en priorité, sur la discussion…</p><p class="justifie">"<em>Nous recherchons avant tout des personnalités, des fans de relation, fans de techno. Chez BBS on vous invite à oublier vos CV, on préfère discuter pour vous découvrir… Notre métier s’apprend, et grâce à nos animateurs métiers vous allez grandir plus vite ! »</em>, explique Boulanger sur internet.</p><p class="justifie">Ainsi ces embauches auront pour but de renforcer les équipes de Boulanger Business Services afin d’assurer leurs ventes en fin d’année.</p>
Dans le cadre de l'appel à projets "Nouveaux cursus à l'université" du PIA 3 (troisième vague du Programme d’Investissements d’Avenir) les universités d'Artois, du Littoral Côte d'Opale (Ulco) et de Picardie Jules Verne (UPJV) ont obtenu 12,5 millions d'euros.Ensemble, elles ont imaginé une nouvelle licence intitulée : "Licence compétences en réseaux (LCER)". L’objectif, d'ici à dix ans, étant de remplacer le système actuel où coexistent des licences générales et professionnelles.Le diplôme comprendra un ensemble de certificats, cumulables dès le secondaire. Il permettra ainsi aux jeunes, bilingues par exemple, de valider des acquis dès le lycée et facilitera aussi la reprise des études pour des salariés.Cette innovation pédagogique devrait permettre d'augmenter le taux de diplômés de l'enseignement supérieur dans la Région.
<p class="justifie">Afin d’assurer l’activité intense liée aux fêtes de fin d’année, Amazon a décidé de recruter pas loin de 7500 intérimaires en France dont 4000 dans la région du Douaisis, à Lauwin-Planque. Des centaines de postes seront proposées en logistique, en manutention ainsi qu’en administratif.</p><p class="justifie">« Ces collaborateurs temporaires viendront renforcer les équipes d’Amazon en France pour aider à préparer et expédier les commandes des fêtes de fin d’année des clients », explique le leader mondial du commerce en ligne.</p><p class="justifie">Ce sont les agences d’intérim Partnaire, Adecco et Adequat qui intègre déjà actuellement plus d’une centaine d’intérimaires chaque semaine. En octobre, c’est 800 intérimaires qui seront recrutés. Pour postuler, il est conseillé de participer au salon en ligne « Recrutement Amazon Lauwin-Planque Douai » où les inscriptions sont d’ores et déjà ouvertes. Si Amazon procède de la même manière qu’en 2017, alors quelques intérimaires venus en renfort pour la fin de l’année pourraient se voir proposer un CDI en 2019.</p>
Créée en 2006 à Villeneuve d’Ascq (Nord), l’enseigne O’Tera, spécialisée dans la distribution alimentaire en circuit-court, poursuit sa croissance et prévoit de nouvelles ouvertures de magasin. L’entreprise, qui emploie plus d’une centaine de salariés sur 4 magasins et qui a généré 37 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2017, est rentable depuis deux ans maintenant et souhaite aujourd’hui continuer son expansion.« Certains magasins, notamment à Avelin, on a mis du temps à s’installer. On a attendu d’être rentable, pour recommencer à ouvrir. De toute façon avant ça, les banques ne suivaient pas. On a laissé passer deux exercices en positif, et désormais, elles sont prêtes à nous accompagner, » explique Guillaume Steffe, PDG d’O’Tera. Deux magasins ont ouvert leurs portes en septembre en région parisienne et un nouveau point de vente est prévu dans les Weppes, à Illies début 2019.
Evonil-Rexim est l’un des tout premiers groupes internationaux dans le domaine de la chimie de spécialité. L’unité de Ham (Somme) emploie 220 personnes, et compte embaucher en 2019 de nombreux opérateurs de production, afin de faire face à une vague de départs à la retraite d’ici 2020.Le groupe se concentre sur les enjeux majeurs que sont la santé, la nutrition, l’utilisation efficace des ressources naturelles et la globalisation. Ainsi, il place la croissance responsable et le développement durable au cœur de leur stratégie. Implanté dans plus de 100 pays, le groupe Evonik emploie plus de 30 000 personnes au total. En France, il dispose de 4 sites : Tours, Lauterbourg, Roussillon et Ham.
Pour faire face à une demande en hausse, le site d'Alstom Petite-Forêt à proximité de Valenciennes, a recruté une centaine de personnes depuis le début de l'année, que ce soit au bureau d'études ou au centre d'excellence des intérieurs.En ce moment, 50 postes sont encore ouverts (10 techniciens d'essais, 10 soudeurs et 30 assembliers) et ils sont quasiment tous pourvus. La société a profité de ces embauches pour titulariser des intérimaires.Par ailleurs, 70 nouveaux postes seront créés en 2019. La création de ces emplois a pour objectif de répondre aux nouvelles commandes telles que le RER nouvelle génération, le métro sur pneu pour les lignes parisiennes ou encore le train deux niveaux pour la Belgique, etc.
À Neuville-en-Ferrain, le centre Promenade de Flandre continue de se développer. Dès novembre, le géant américain KFC, va s’y installer. Le fast-food est déjà à la recherche d’une trentaine d’employés polyvalents.Pendant ce temps à Cambrai, Burger King confirme son ouverture en fin d’année.Le restaurant va d’abord profiter de deux bons mois de travaux. "En moyenne, les coûts de transformation d’un restaurant Quick en Burger King s’élèvent à 1,2 million d’euros", indique Christina Raish, consultante chez Hopscotch, en charge de la communication de l’enseigne.À cette occasion, plus d’une quarantaine de postes sont à pourvoir dès maintenant.
Exotec Solutions est une start-up lilloise dirigée par Romain Moulin et Renaud Heitz. Celle-ci a mis au point des petits robots appelés "skypod". Ils ont pour fonction de faciliter la préparation de commandes au détail.Installée Porte-de-Valenciennes à Lille à ses débuts, la société en pleine expansion a dû rapidement déménager à la Gare-de-Croix.En 2018, 200 "skypod" ont été produits. En 2019, l’objectif est d’en produire 1 000. Pour parvenir à ses objectifs, la start-up qui compte 40 salariés prévoit 20 recrutements afin d’atteindre les 60 salariés fin 2018.Récemment, elle a levé 15 millions d'euros afin de se développer, notamment à l'international (en Chine et aux États-Unis dans les deux ans).La prochaine étape pour l'entreprise sera la construction en 2019 d'un nouveau bâtiment sur 1 500 m2, à proximité des bureaux actuels.
Dans les Hauts-de-France, le secteur de l’hôtellerie-restauration représente 16 000 établissements pour 61 000 salariés.Il fait face à une pénurie de main-d’œuvre, particulièrement dans la restauration. Selon la dernière enquête "Besoins de main-d’œuvre" publiée par Pôle emploi, il y a 7 487 projets de recrutements dans l’hôtellerie-restauration pour les départements du Nord et du Pas-de-Calais, particulièrement chez les serveurs de café-restaurant (2 859 postes) et les aides et apprentis de cuisine (3 702 postes).Comme le souligne Gérard Depoorter, président de l’UMIH (Union des métiers et des industries de l’hôtellerie) Hauts-de-France : "Il est temps d’ouvrir les portes de nos établissements pour montrer la diversité de nos métiers et leur intérêt ».
Au premier semestre 2018, 30 000 emplois ont été créés au niveau national (23 000 salariés et 7 000 intérimaires), dans le BTP.La Fédération française du bâtiment Nord - Pas-de-Calais, indique que les besoins actuels dans la région se portent vers des personnes qualifiées (menuisiers, charpentiers, techniciens en bureau d’études, techniciens ingénieurs, électriciens…).La profession est d’ailleurs prête à accueillir des profils sans expérience dans le domaine avec des contrats de professionnalisation ou d’apprentissage.Du côté des travaux publics, le groupement d’employeurs GEIQ Pro TP (Aulnoy-lez-Valenciennes) propose des contrats de professionnalisation sur 12 mois pour devenir ouvrier des voiries et réseaux.
<p class="justifie">Un an après le lancement du service Eko du Crédit Agricole, la Caisse d’Épargne modernise à son tour son offre digitale en proposant ce mardi, Enjoy, un compte bancaire 100% en ligne et à deux euros par mois.</p><p class="justifie">« <em>L'offre Enjoy by Caisse d'Épargne a été conçue pour une clientèle en quête d'une relation digitale, simple et agile</em> », explique la banque dans un communiqué. Avec Enjoy, c’est toujours la possibilité d’avoir une carte de paiement, un chéquier, de réaliser des retraits gratuits dans tous les distributeurs de la banque et de consulter son compte en ligne. Les clients ont aussi accès aux espaces libre-service en agence et à un conseiller par téléphone ou par mail.</p><p class="justifie">De plus, à l’inverse d’autres néo-banques, Enjoy permet de bénéficier de l’ensemble de la gamme d’épargne, d’assurance et de crédits de la Caisse d’Épargne et propose aussi divers moyens de paiement, avec la possibilité d’utiliser Apple Pay, Paylib et Samsung Pay.</p>
<p class="justifie">Avec près de 31 500 nouveaux clients et 2,2 milliards de crédits accordés à leur clientèle, le Crédit Agricole Nord de France enregistre une progression de 5,8% sur un an, dont 14,1 milliards sur les crédits habitats, soit 9,2% d’augmentation par rapport à 2017. L’épargne clientèle est aussi en progression de 3,2%. La Banque se développe aussi sur la commercialisation de leurs services grâce à deux assurances : l’assurance des biens (+5,3% sur un an) et l’assurance des personnes (+3,7% sur un an).</p><p class="justifie">De plus, après l'ouverture en 2017 d’une nouvelle agence à Lille, le Crédit Agricole Nord poursuit son programme de modernisation et de digitalisation des parcours clients. La Banque verra, fin 2018, son incubateur "Village by CA Nord de France" emménager dans un nouveau bâtiment de 4.200 m² qui pourra accueillir une soixantaine de startups avec des espaces dédiés au coworking. Ainsi, l'activité du Crédit Agricole Nord devrait rester dynamique en 2019…</p>
<p class="justifie">2018 est l’année de la modernisation, du digital et du numérique pour le Crédit du Nord. En effet, son offre se veut définitivement plus sécurisée et accessible grâce à la carte bancaire anti-fraude, aux virements multi banques et à l’utilisation du digital grâce à Apple Pay, à la signature électronique et à la dématérialisation des contrats.</p><p class="justifie">« <em>En agence, le conseiller transfère le contrat dans l’espace sécurisé du client qui peut y accéder via son smartphone</em> », explique le Crédit du Nord.</p><p class="justifie">« <em>Si le client ne peut se déplacer, le conseiller de clientèle met le contrat à disposition du client dans l’espace sécurisé de sa banque en ligne. Le client numérise les justificatifs nécessaires et signe électroniquement le crédit, etc. </em>». Pour la banque, l’objectif est ainsi d’apporter une meilleure expérience client à ses usagers et ainsi, réduire son empreinte environnementale, notamment grâce à la disparition des contrats papier.</p>
<p class="justifie">Un an après la fusion des Caisses d’Épargne Nord France Europe et Picardie en une entité Hauts-de-France, le siège de la Caisse d’Épargne des Hauts de France s’installera dans l’immeuble « ShaKe », situé à Euralille au printemps 2021. ShaKe est un projet développé par Nacarat et conçu avec l’agence PCA-Stream, il s’étend sur 30 000 m². La banque régionale est également l’investisseur de ce programme.</p><p class="justifie">En plus d’accueillir le futur siège régional de la Caisse d’Épargne Hauts-de-France, ShaKe proposera un amphithéâtre de 350 places, un restaurant, une crèche d’entreprises, quelques magasins, une salle de fitness, mais aussi des espaces de coworking et un incubateur de start-up, l’occasion de réunir de nouveaux entrepreneurs.</p>
<p class="justifie">Pour les jeunes retraités, les indépendants, les étudiants ou tout simplement ceux à la recherche d’un emploi, l’entreprise de convoyage Fullcar Services, spécialiste de l’externalisation de services dans l’automobile, prévoit de recruter 2 000 chauffeurs dans toute la France donc 216 dans les Hauts-de-France afin d’intégrer e-convoyage, sa plateforme nationale proposant des centaines de convoyage.</p><p class="justifie">Le convoyage, c’est quoi ? Un système permettant de conduire un véhicule de porte-à-porte sur de courtes ou de longues distances pour le compte de professionnels de l’automobile. Full Services, société du groupe Feedback Enterprise, organise chaque année, pour le compte d’environ 100 clients du secteur de l’automobile, plus de 580 000 transferts de véhicules et 25 000 convoyages.</p><p class="justifie">Pour devenir prestataire, les intéressés doivent déposer leur candidature sur le site de l’entreprise : <a href="http://www.fullcar-services.com" target="_blank" rel="noopener">www.fullcar-services.com</a></p>
<p class="justifie">Après un succès fulgurant durant sa première édition, le job dating d’Halluin reviendra pour une deuxième fois demain, jeudi 20 septembre, de 9 heures à midi, à la ferme du Mont Saint-Jean. Au programme : 90% des postes à pourvoir en Belgique, le reste en France.</p><p class="justifie">Les candidats pourront ainsi découvrir de nombreuses branches de métiers, comme la communication, le marketing, la boulangerie, le transport ou l’industrie, et pourront en plus, se rapprocher d’agences d’intérim belges qui recrutent aussi en France. Les candidats français auront aussi l’occasion de comprendre le statut d’employé en Belgique grâce à des stands d’information. Enfin, pour perfectionner sa candidature, des simulations d’entretien d'embauche sont prévues.</p>
Demain se tiendra une journée d’entretiens à l’Usine de Mécanique de Valenciennes (UMV).En effet, afin de suivre l’objectif demandé par le nouveau patron de PSA, Carlos Tavares, à savoir l’augmentation de la production en passant de 1 800 boîtes de six vitesses à 3 000 en novembre, l’UMV a décidé d’embaucher des pilotes de système de production et des techniciens Bac +2, en contrat d’intérim et ce, pour minimum douze mois.Ce moment d’échange entre le constructeur automobile et les candidats se tiendra le mercredi 19 septembre de 13h30 à 16h, avenue Marc-Lefranc à Trith-Saint-Léger. Les candidats auront donc l’occasion de passer un entretien, mais aussi, de déposer leur CV dans des agences d’intérim.
Lundi 10 septembre dernier, Cité Europe annonçait l’implantation de la célèbre chaîne de prêt-à-porter Primark, qui ouvrira probablement ses portes fin 2019. Une opportunité pour faire bondir le nombre d’offres d’emploi dans la ville de Coquelles, près de Calais.Cette ouverture est une grande avancée dans la dynamique du centre commercial, puisque le magasin sera établi sur une surface de 4 000m² répartie sur deux niveaux et fera l’objet d’une restructuration du centre à partir de fin 2018.Ce rebondissement permettra aussi une hausse de la fréquentation, du chiffre d’affaires et une augmentation considérable du nombre d’emplois à pourvoir sur la côte d’opale, puisque, selon les chiffres des magasins Primark voisins, l’ouverture devrait proposer plus d’une centaine d’emplois.
L'ADEME (Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie) montre à travers une étude menée dans la région, que la transition énergétique est un vrai levier de création d'emplois. Elle confirme la perspective nationale de créer 900 000 emplois d'ici 2050.Les Hauts-de-France sont à la pointe sur la transition écologique et énergétique avec leur "Troisième révolution industrielle", initiative lancée par la région en 2013.Les emplois créés seraient multipliés par quatre dans le secteur des énergies renouvelables avec un gain net de 22 800 emplois. Les filières du bois énergie et de la méthanisation seraient les plus génératrices d'emplois. La rénovation énergétique des bâtiments génèrerait, quant à elle, la création de 2 800 emplois. "Les logiques à l'œuvre sont globalement celles d'un transfert des métiers de la construction neuve vers la rénovation", explique l'ADEME."Loin de certaines idées reçues, la mise en place d'une politique ambitieuse de transition énergétique n'aurait pas pour effet de ralentir l'économie de la région ; elle favoriserait au contraire un développement économique légèrement plus rapide et aurait pour conséquence une création nette d'emplois", conclut l'étude.