« En route pour l’emploi » est un dispositif mis en place par la région Hauts-de-France depuis 2 ans afin d’aider les demandeurs d’emploi.En effet, la question des mobilités est centrale pour de nombreux demandeurs d’emploi ou travailleurs modestes. Pour 2 € par jour, le Conseil Régional met à disposition une voiture pour les personnes qui ont retrouvé un travail et qui ont des difficultés pour réaliser les trajets domicile-travail. Quelle sont les conditions pour bénéficier de cette aide ?Il faut avoir trouvé « un CDD de 3 mois et plus (y compris intérim), un CDI à temps partiel ou complet, un contrat par alternance, une convention de stage en entreprise, un contrat ou convention pour une immersion en entreprise, un contrat aidé ou un chantier d’insertion »;Il faut toucher maximum 2 600 € brut par mois pour pouvoir y prétendre;Il faut être détenteur d’un permis de conduire B valide;Il ne faut pas avoir de transport en commun près de son domicile et/ou lieu de travail ou avoir des horaires qui constituent une contrainte pour les utiliser. (Le prêt du véhicule peut aussi se faire si le vôtre est en panne ou si le ménage n’en dispose que d’un seul.)Quelles sont les conditions d’utilisation du véhicule ?La Région prête ses véhicules pour 2 euros par jour avec l’assurance prise en charge par la collectivité territoriale;L’essence est à la charge du bénéficiaire tout comme les frais de péage et de parking, ainsi que les éventuelles amendes;La période du prêt de la voiture est fixée à 1 mois maximum, renouvelable une seule fois. Elle correspond souvent à une période d’essai;Les déplacements ne peuvent être effectués que dans la Région Hauts-de-France.
<p class="justifie">LMS (Logistique Manutention Stockage) est une société de 13 salariés, spécialisée dans l’entreposage non frigorifique. Elle loue ses espaces à des clients régionaux comme Roquette, Renault, Gefco…</p><p class="justifie">Installée à La Gorgue, la société a investi plusieurs centaines de milliers d’euros pour répondre aux normes sur les conditions de stockage (le traitement des poussières, les sas de décontamination, l’électricité, etc.). Cependant selon la DREAL (Direction Régionale de l'Environnement de l'Aménagement et du Logement) ce n’était pas suffisant pour des produits agroalimentaires.</p><p class="justifie">C’est donc pour respecter ces normes toujours plus strictes que LMS va investir 7 millions d’euros dans la construction de bâtiments sur la Zone d’Activités de Paradis, à Lestrem. Avec notamment un "entrepôt high-tech avec température dirigée, hygrométrie contrôlée, double sas de sécurité".</p><p class="justifie">Pour faire fonctionner ce futur site, LMS prévoit une trentaine d’embauches. En effet l’objectif est d’atteindre un effectif de 70 à 80 personnes, en 2025.</p>
<p class="justifie">Le CDI intérimaire ou CDII, contrat hybride inscrit dans le Code du Travail depuis cet été, est progressivement utilisé mais a toujours du mal à être reconnu. Pourtant, les avantages sont là : après avoir été embauché en CDI par son agence d’intérim qui lui confie confi différentes missions pour différentes entreprises, le salarié peut profiter d’une sécurité de l’emploi, d’un salaire minimal entre deux missions (une mission peut d’ailleurs durer 36 mois contre 18 en intérim classique) et d’une rémunération entre deux missions que l’agence d’intérim s’occupe de lui verser. De plus, ce contrat a l’avantage de faciliter l’embauche en CDI.</p><p class="justifie">Néanmoins, le salarié se doit d’accepter toutes les missions qu’on lui présente même celles ne l’intéressant pas, également, il ne peut pas effectuer une mission à plus de 50 km de chez lui et perd la prime de fin de mission versée habituellement en contrat d’intérim classique.</p><p class="justifie">Actuellement, ce type de contrat n’est pas apprécié par certains syndicats qui y voient l’impossibilité pour un salarié d’évoluer et une certaine précarité. Cependant, le nombre de contrats dans les Hauts-de-France a augmenté de 2.4% depuis 1 an, sachant qu’en France, ils sont 41 000 CDII à profiter de ce contrat, loin devant les 700 000 contrats d’intérim classiques.</p>
<p class="justifie">Avec une augmentation de la conception de 43% en un an, les studios de création français battent un record historique. En effet, d'après le Syndicat national du jeu vidéo (SNJV) et le cabinet d'études Idate, ces derniers n'ont jamais été aussi productifs qu'en cette année 2018.</p><p class="justifie">Ces entreprises (227 comptabilisées sur le territoire français) ont développé 1.200 titres cette année, contre 830 en 2017 et 730 en 2016. <em>« Pour exister sur un marché mondial très compétitif et éclaté entre les univers consoles, PC et mobiles, les studios de développement de jeux vidéo multiplient les productions originales afin d'augmenter leurs chances de succès »</em>, précise le délégué général du SNJV, Julien Villedieu.</p><p class="justifie">Avec cette augmentation constante de projets, de nombreux studios cherchent à recruter de nouveaux collaborateurs pour répondre à la demande.</p><p class="justifie">Ces nouveaux collaborateurs peuvent d’ores et déjà se former à <a href="https://www.l4m.fr/emag/info/actualite-formation-2/lancement-xp-ecole-internationale-e-sport-gaming-a-lille-17365?apptoken=2f644d32310a0a7389d9ee5a2a2bc75ff9b122722301c057a09ce058c4dfa66a" target="_blank" rel="noopener"><u>XP, la nouvelle école internationale de l’E-sport et du Gaming</u></a> qui a récemment ouvert ses portes à Lille.</p>
<p class="justifie">Le Val de Somme a décidé d’orienter son budget vers le développement économique avec l’implantation d’une grande zone commerciale.</p><p class="justifie">Patrick Simon, maire de Villers-Bretonneux a présenté ce projet comme « une jardinerie de 25 000 m² dont 5 300 m² en extérieur, un magasin de meubles et de déco de 13 000 m² » et entre ces deux bâtiments « un mur d’escalade implanté sur 1 310 m² proposant une hauteur de 35 m à ses utilisateurs ».</p><p class="justifie">Ce projet, s’il est validé par la commission départementale, promet de créer 350 emplois dès le premier trimestre 2019.</p><p class="justifie">L’autre bonne nouvelle pour l’emploi de la région est le projet de cession d’un terrain de 90 000 m² à la société STDN logistique qui est déjà implantée à Villers-Bretonneux. « Cette société envisage d’agrandir ses espaces de logistique en procédant à l’acquisition de ce terrain en face de leur implantation actuelle, attenant à la déchetterie intercommunale. Elle veut y implanter un bâtiment logistique de 42 000 m² en trois phases. Ce projet permettrait de recruter de 20 à 40 personnes. Le dossier est toujours à l’étude par la société », précisait Monsieur Simon.</p><p class="justifie">L’année 2019 pourrait être l’année de la récolte des graines semées pour ce territoire aux finances plus que saines.</p>
<p class="justifie"><span>Chapel Hydraulique, une des trois plus grandes entreprises spécialisée dans les vérins hydrauliques dans le milieu du machinisme agricole et de l’industrie, cherche à recruter pour son site d’Avesnelles. Avec déjà 7 sites en Europe dont 5 en France et une implantation dans les Hauts-de-France, l’entreprise est une des références du milieu et compte parmi ses clients des noms comme Legrand ou Desvoys. Mais son activité dense nécessite de la main-d’œuvre ! Après l’achat récent de matériel supplémentaire, six personnes sont attendues pour le premier trimestre et dix personnes pour la fin d’année 2019. Les postes recherchés sont précis : opérateur de commandes numériques, soudeurs qualifiés et mécaniciens monteurs. Cependant, l’entreprise n’est pas contre le recrutement de candidats sans qualification étant donné qu’une période de formation peut être apportée. Derniers critères importants : des personnes prêtes à travailler à 5h du matin et qui n’habitent pas trop loin d’Avesnelles. </span></p>
« Quand j’ai appris l’existence des Mampreneures, j’étais heureuse comme une gamine ! Mais le soufflé est retombé quand je me suis rendu compte qu’il n’y avait pas d’antenne à Lille ! » explique la vendeuse à domicile indépendante (VDI) et co-déléguée de l’antenne Lilloise, Augustine Leclercq-Hamben.Les Mampreneures, est une association qui existe en France depuis presque 10 ans et dont l’objectif est de réunir des mamans chefs d’entreprise. Pour Augustine, l'association correspond à son envie de faire partie d’un réseau 100 % féminin. De son côté, Anne Coïa, porteuse de projet, cherchait elle aussi un réseau de femmes chefs d’entreprise.Augustine Leclercq-Hamben et Anne Coïa ont contacté l’association qui les a mises en contact : chez les Mampreneures, il faut deux co-déléguées pour ouvrir une antenne. Les deux femmes se sont lancées et ont ainsi crée la toute nouvelle antenne lilloise. « C’est important de pouvoir échanger avec des personnes dans la même situation que soi. Des femmes, des mères, des entrepreneures qui ont connu le même chemin. Quand on est une jeune femme d’une vingtaine d’années et qu’on a un projet de création d’entreprise, la prise de risque n’est pas la même que lorsque l’on est en couple, que l’on a des enfants », explique Anne Coïa. « Il n’y a pas de barrière à briser », renchérit Augustine Leclercq-Hamben.Mi-novembre, le tout premier « Mamcafé » a réuni 13 participantes. Des rencontres seront organisées régulièrement, agrémentées d’ateliers aux thématiques variées : développement personnel, questions juridiques ou financières, développement commercial. L’adhésion coûte 95 € par an et est ouverte aux mères chefs d’entreprise ou porteuses d’un projet de création. Actuellement, le réseau national compte 250 adhérentes actives et l'objectif est de passer à 500 d'ici 2021.
<p class="justifie">A Tourcoing, le dispositif Territoires Zéro Chômeur qui existe depuis 2 ans a été déployé dans le quartier des Phalempins depuis 2017. L’objectif étant de créer des emplois adaptés aux besoins de chacun grâce à une entreprise : La Fabrique de l’Emploi. Cette dernière a pour but d’employer des personnes privées d’emploi en fonction de leurs envies et des besoins de la ville. Plusieurs associations sont donc mobilisées pour mettre à bien ce projet comme les associations de quartier, la ville ou la région.</p><p class="justifie">Depuis son déploiement, ce sont 25 personnes de tout âge qui ont été embauchées (en CDI) par l’entreprise pour participer à des projets collectifs. Par exemple, une recyclerie a été créée permettant de lutter contre les débarras sauvages dans le quartier et évitant aux habitants de se déplacer jusqu’à une déchetterie. Ce projet aura proposé du travail à 4 salariés.</p><p class="justifie">Pour 2019, les projets continuent. Une cantine devrait voir le jour et les travaux commenceront en janvier ce qui permettra une nouvelle fois à 4 personnes de devenir salariés. Pour le moment, ce sont encore 30 personnes sans emploi qui sont en attente de pouvoir participer à un projet et qui devraient potentiellement être embauchées en 2019.</p>
<p class="justifie">SC2E est une société proposant des installations luttant contre la précarité énergétique (on parle de précarité énergique dès qu’une facture d’énergie représente plus de 10% des revenus). Installée depuis un an à Douai, en 2019, la société prévoit d’ouvrir 8 nouvelles agences dans toute la région (Saint Omer, Béthune, Arras, Péronne, Cambrai, Valenciennes, Villeneuve-d’Ascq, Tourcoing) et 20 agences en tout, en 3 ans. Pascal Olivier, le directeur général a ainsi déclaré que SC2E avait « une obligation de développement » étant donné qu’elle est la seule société de la région luttant contre la précarité énergétique.</p><p class="justifie">Pour 2019, le recrutement a déjà commencé. Ce sont environ 9 personnes pour chaque agence qui seront embauchées afin d’atteindre un effectif total de 200 personnes dans 3 ans. Tout type de profil est attendu et des formations seront proposées mais la société embauchera majoritairement des profils commerciaux.</p>
<p class="justifie">Créée en 2006 à Lille, Vivat est une entreprise proposant une aide à domicile pour les personnes âgées et dépendantes. Cependant, Vivat propose cette activité professionnelle dans un cadre compliqué : le métier n’attire plus, et se heurte à des problèmes de rémunération ainsi que de considération. Pour le Douaisis cela complique la situation. En effet, alors que 60 aides à domicile doivent s’occuper de plus de 150 familles, les nouveaux patients se retrouvent sur liste d’attente. Il manque ainsi 10 personnes dans cette région pour pouvoir accueillir les nouvelles demandes d’aides.</p><p class="justifie">En quoi consisterait de devenir aide à domicile pour Vivat ? En petites équipes sur un territoire restreint, les aides à domicile gèrent leur emploi du temps comme elles le souhaitent tout en respectant les impératifs des personnes âgées. Faire la toilette, les courses, le ménage et des sorties, c’est ce que propose Vivat en temps partiel sur une base de 15 à 24h par semaine. Pour ce qui est du salaire, Arnold Fauquette, le gérant de Vivat déclare « <em>on est à un peu plus de 10 € brut de l’heure. C’est un peu plus que la moyenne du secteur. Il faut juste un diplôme d’État d’auxiliaire de vie sociale (DEAVS) et surtout avoir une appétence pour le relationnel</em> ». Si vous êtes intéressé, n’hésitez pas à transmettre votre candidature à l’adresse mail <a href="mailto:laetitiaduboisvivat@gmail.com" target="_blank" rel="noopener">laetitiaduboisvivat@gmail.com</a> ou à appeler Laëtitia Dubois au 07 77 16 91 63.</p>
<p class="justifie">Vérifier et réparer les équipements de mesure (autrement dit, faire de la métrologie) pour de grosses entreprises de l’aéronautique comme Dassault ou Airbus mais aussi de l’automobile et de l’industrie pharmaceutique, c’est justement l’activité principale du groupe Trescal. Alors que le groupe recense déjà 29 agences partout en France, ils viennent de délocaliser leur agence d’Arras à Tilloy-lès-Mofflaines afin de créer une fusion avec les antennes de Maubeuge et de Rosult. Ce qui fait donc d’elle la seule agence de la région.</p><p class="justifie">Et si 26 salariés travaillent actuellement dans cette agence pour le compte de gros clients comme Alstom ou Bombardier, font 45 000 interventions et 3.2 millions d'euros de chiffre d’affaires depuis 1 an, ils peinent pourtant à recruter des techniciens, malgré la densité de l’activité. En effet, le secteur est peut-être encore trop méconnu, et pourtant, Trescal ne fait pas les choses à moitié puisque des apprentis sont régulièrement recrutés et qu’un institut au sein même de l’agence a été créé pour former les nouvelles recrues.</p><p class="justifie"> </p>
Un an après sa fusion avec euro engineering, Modis a confirmé sa position de leader sur le marché de conseil en ingénierie, services numériques et sciences de la vie. L’entreprise a d’ailleurs récemment lancé une campagne de recrutement de 185 personnes en CDI à Lille et Valenciennes (Nord).Elle cherche à pourvoir des postes très diversifiés comme des consultants et chefs de projets, business managers et collaborateurs de fonctions transverses. L’entreprise met l’accent sur le fait que « 100 % des postes sont ouverts à des personnes en situation de handicap ».Selon Modis «[de] la diversité des talents naît la performance de l’entreprise ». C’est pourquoi la société met en avant la détection et le développement du potentiel de chaque candidat et de chaque collaborateur.Laurent Graciani, directeur général France de The Adecco Group en charge des activités consulting, outsourcing et médicales explique que « les mutations technologiques ouvrent un champ des possibles infini, source d’innovation. Chez Modis, la détection des talents, leur développement et leur épanouissement est au cœur de notre approche : nous proposons à nos collaborateurs des projets motivants, un accompagnement individualisé et un parcours de formation construit et soutenu. Nous venons notamment de lancer notre université interne dont l’objectif est de former nos collaborateurs intéressés au métier de Business Manager, au recrutement, au développement commercial, à la gestion d’équipe et au pilotage de centre de profit ».
Cette initiative originale vient du cabinet de ressources humaines villeneuvois BPI, en partenariat avec Pôle Emploi, Cap Emploi et les Missions locales. Le principe est simple :Dans cette entreprise presque comme les autres, 45 volontaires à la recherche active d’emploi s’associent, sans qu’il y ait de statut légal, pendant 6 semaines pour collecter ensemble un maximum d’offres d’emploi et convaincre leurs futurs employeurs.Concrètement, il s’agit de recenser toutes les offres existantes, sur Internet, dans les forums, mais aussi en appelant directement les entreprises, avec l’espoir de les rencontrer. Les candidats bénéficient alors de moyens comme de la simulation d’entretien ainsi que de cartes de visite, avec le logo de Buzz and job.« On leur demande d’oublier le mot « demandeur d’emploi », explique Richard Plumel, du cabinet BPI. En général, dans leurs démarches, ils s’adressent de manière individuelle aux entreprises, en étant un peu gauches. Là, c’est un groupe de personnes extrêmement motivées. »Issus de tous les secteurs d’activité, du CAP à bac + 5, les associés sont intégrés à un service (Web, ressources humaines, plateforme téléphonique…) dont la mission est bien définie, sur la base des compétences et du projet de chacun.« Parfois, des gens qui n’ont jamais fait de centre d’appels se découvrent une vocation. Souvent, les gens en ont marre d’être seuls devant leur ordinateur. Le matin, ils arrivent, ils retrouvent leurs collègues. Tout le monde se tutoie. C’est une belle aventure humaine qui leur permet de sortir de leur isolement. » explique Richard Plumel.Cette « entreprise » n’en est pas à son coup d’essai puisque c’est la septième édition en France. Elle avait déjà été organisée à Roubaix, avec un bilan très positif précise Richard Plumel : « En moyenne, un tiers des personnes trouvent du travail durant les six semaines. On fait un suivi à trois mois. Au bout de six mois, 50 % ont retrouvé un emploi. »Il attribue notamment ces chiffres très encourageants à la préparation et à la simulation proposées, qui permettent au candidat de « gagner de la confiance » : « J’ai vu des personnes changer en six semaines. On sème les graines, et ensuite on récolte. »Dans tous les cas, « c’est une expérience à valoriser sur un CV » car « les recruteurs ont besoin d’être rassurés ».
La Gare Saint Sauveur se veut design ! Bazaar, c’est le nom que portera la halle B pour une durée indéterminée. 5 000m² d’espace de co working dédiés à l’économie créative au sein de l’éco quartier, c’est le projet prometteur de deux actionnaires – Smart et initiativesETcité.Mais qu'est-ce-que l’économie créative ? C’est un « ensemble d'activités exploitant l'inventivité esthétique et artistique de groupes de travailleurs créatifs ». Très populaire en Europe, l’économie sociale et solidaire représente à Lille 52 000 emplois. Ce projet a déjà tout prouvé à Bruxelles où SMart a déjà développé un espace de co working.Les travaux commençant en juillet 2019, l’espace se situera dans le prolongement de l’exposition tendance du moment : Sportfoto. Outre la promesse de proposer de grands espaces de travail à des porteurs de projet, la construction de cet espace apportera directement plus de 300 créations d’emplois.Avec un investissement de 8.5 millions d’euros, Bazaar est majoritairement financé par les deux actionnaires (SMart et initiativesETcité) mais aussi en partie par la Ville, la MEL et la Région.
Le site de Valenciennes du Groupe PSA est spécialisé dans la fabrication de boîtes de vitesses, et des organes mécaniques de haute technologie. Créé en 1980, le site automobile est un acteur majeur de l’économie locale.Afin de renforcer ses équipes, le groupe PSA organise un jobdating, le vendredi 7 Décembre de 09h à 12h, à la Salle de sports, rue Marc Lefranc à Trith-Saint-Léger. Les postes à pourvoir sont nombreux : responsable d’équipe, technicien de process, automaticiens, référent vissage, et technicien logistique. En ce qui concerne les profils recherchés, un niveau bac +2/bac+3 avec expérience sera demandé aux candidats intéressés. Présentation requise d'une pièce d'identité et d'un CV.
Le Club Med est le leader des vacances haut de gamme, "all-inclusive" et conviviales.En 2017, il ouvrait le resort Grand Massif Samoëns Morillon, cette année, le 16 décembre, ce sera celui des Arcs Panorama. La campagne de recrutement pour l'hiver 2018/2019 n'est pas terminée. Il recrute encore de nombreux professionnels de l’hôtellerie, de la restauration, et de la petite enfance. Ce sont des postes tels que : chef de rang, gouvernant d'étages, employé de restauration, technicien polyvalent, moniteur fitness, auxiliaire de puériculture, et bien d'autres... qui sont à pourvoir.Pour les personnes intéressées de rencontrer un recruteur du Club Med et passez un entretien, un job dating est organisé à la Maison Départementale de l'Insertion et de l'Emploi - 68, boulevard de la Liberté à Lille, le mercredi 5 décembre de 09h00 à 16h00.Pour les candidats ne pouvant pas se déplacer, ils peuvent postuler aussi en ligne sur le site www.clubmedjobs.fr.
<p class="justifie">Lemahieu, PME labélisée « Origine France Garantie », fabrique dans ses ateliers de production des sous-vêtement de confort et bien être depuis 1947 pour des clients prestigieux tels que Le Slip Français, Le Bourget ou encore la boutique de l’Elysée. En raison de l’accroissement de son activité et l’engouement pour le Made in France, Lemahieu recrute 15 couturiers/ères.</p><p class="justifie">Les postes consisteront à la réalisation d’opérations de confection, de montage et d’assemblage d’articles à l’aide de diverses machines à coudre programmables ou non (piqueuse, surjeteuse, flatseamer...), en respectant les impératifs de production et les règles de sécurité. Parmi les autres exigences de Lemahieu, il sera demandé de veiller au respect du grade de qualité du modèle en contrôlant la qualité de son travail avec le souci permanent des délais ou encore de réaliser des opérations de finition.</p><p class="justifie">Pour postuler il vous sera demandé d’être de formation CAP/BEP prêt à porter, métiers de la mode et des industries connexes et détenteur d’une expérience dans le domaine, d’aimer travailler en équipe mais aussi être autonome. Les postes sont à pourvoir à Saint-André-lez-Lille, en temps complet, en CDD dans un premier temps puis éventuellement en CDI .</p><p class="justifie">Si vous êtes intéressé, envoyez votre CV ainsi qu’une lettre de motivation à l’adresse <a href="mailto:recrutement@lemahieu.com" target="_blank" rel="noopener">recrutement@lemahieu.com</a>.</p>
<p class="justifie">A Maubeuge, le secteur de l’automobile voit déjà son année 2019 se porter plus que bien. En effet, lors de la visite présidentielle chez MCA Renault, Carlos Ghosn, président de l’alliance Renault-Nissan-Mitsubishi a annoncé à son personnel la production d’un nouvel utilitaire Nissan, sur la base du Kangoo actuel. Au total, ce sont 450 millions d’euros qui seront investis sur cinq ans et 200 embauches d’agents de fabrication en CDI début 2019.</p><p class="justifie">« <em>Cela va nous amener du volume, des investissements, et cela conforte la pérennité de notre usine</em> », explique un salarié.</p><p class="justifie">Cette opération de recrutement de masse et ouverte aux titulaires d’un CAP ou d’un BEP dans le secteur de l’automobile et ayant acquis une première expérience dans cette industrie. De plus, l’usine encourage les femmes à postuler. Elles représentent actuellement 8% des effectifs chez MCA mais font souvent preuve de rigueur et sont plus perfectionnistes que leurs collègues, selon la direction du site.</p>
En cette fin d’année 2018, alors que le secteur du médical manque cruellement de personnel soignant, notamment des infirmiers et des aide-soignants, l’agence Adecco Medical a lancé une importante campagne de recrutement. En tout, ce sont 3 000 postes qui seront à pourvoir partout en France dont 190 dans la région Haut de France. Plus précisément, ce sont 35 CDI et CDD et 155 contrats d’intérim qui seront proposés.Pour Thibault Vautier, Directeur Général Opérationnel d’Adecco Medical, la fin de l’année est propice aux nouvelles opportunités : « Beaucoup de postes sont à pourvoir partout en France en cette fin d’année. La période des fêtes est généralement une période charnière pour les candidats à la recherche d’un nouveau challenge professionnel, que ce soit dans le cadre d’une mobilité géographique, d’une reconversion ou pour une première expérience professionnelle ».Adecco Medical est à la recherche de tous types de profils, qu’ils soient issus d’établissements publics ou privés. Pour postuler, rendez-vous sur le site d’Adecco Medical et sur leur page Facebook pour plus de renseignements.
L’usine de Coca-Cola France située à Socx près de Dunkerque, va investir 19 millions d’euros dans une nouvelle ligne de production de bouteilles en verre.Cette installation va permettre la production des boissons plates et gazeuses dans une large gamme de formats, et ce sur une seule et même ligne de production. Ce sera une grande première pour Coca-Cola en Europe.Pour faire fonctionner cette nouvelle ligne, l’entreprise a créé 23 postes, qui seront à pourvoir au cours du premier semestre 2019.Source : L'usine Nouvelle