IFMK institut de formation en masso-kinésithérapie

Le référentiel de formation est articulé autour de l’acquisition de compétences requises pour l’exercice des différentes activités inhérentes aux rôles et missions de la masso-kinésithérapie / physiothérapie. La formation organise le développement des compétences professionnelles.
L’IFMK a depuis 2002 développé un partenariat fort avec l’Université Picardie Jules Verne et plus particulièrement l’UFR Santé et l’institut d’ingénierie en santé. Ce partenariat a valeur d’exemple, en effet, moyennant une double inscription, les étudiants obtiennent une Licence « Sciences Technologies Santé » puis le Master « Ingénierie de la santé parcours Ingénierie de la Rééducation, du Handicap et de la Performance Motrice » en fin de formation. Au sein de ces parcours de formation, certaines UE sont mutualisées avec d’autres filières universitaires.
La formation se déroule sur 2 cycles de 2 ans, chacun étant réparti sur 4 semestres :
• le 1er cycle apporte les enseignements scientifiques, méthodologiques et professionnels fondamentaux nécessaires à la compréhension des problèmes de santé et des situations cliniques rencontrées en kinésithérapie. Le 1er cycle se compose de 445 heures de cours magistraux et 575 heures de TD.
• le 2ème cycle, à partir du socle de connaissances théoriques et pratiques acquis, organise le développement de compétences diagnostiques et d’intervention kinésithérapeutique. Le 2ème cycle cycle se compose de 450 heures de cours magistraux et 510 heures de TD.
A cela, il faut ajouter pour l’ensemble des 2 cycles, la formation pratique de 1 470 heures répartie sur 7 stages dont le dernier de 12 semaines. Au total, la formation représente 3 450 heures auxquelles on peut ajouter les 3 220 heures de travail personnel.
Les formations de IFMK institut de formation en masso-kinésithérapie
MASSO-KINESITHERAPHIE
MASTER 1 ou équivalent
Voir le détailDescription
PACES 1 année de médecine ou STAPS 1 + 4 ans
Objectif
Le Masseur-Kinésithérapeute fait ensuite appel à de nombreuses techniques :
– massages,
– mobilisation des articulations,
– mouvements de gymnastique à l’aide d’appareils, de poids…
Il peut aussi utiliser l’eau (les séances se déroulent alors dans une piscine), la chaleur ou les ultrasons etc….
Il intervient dans tous les domaines médicaux entraînant des déficiences, incapacités et handicaps.
La remise en forme, relaxation…
Sur prescription médicale, le Masseur-Kinésithérapeute peut réaliser des bilans de capacité. Il intervient parfois, sans prescription médicale, dans le domaine sportif (remise en forme, relaxation, massage…) ou esthétique (exercices de relaxation pour le visage par exemple).
Conditions de travail
La majorité des Masseurs-Kinésithérapeutes exerce à titre libéral, en cabinet.
Leur emploi du temps s’adapte aux disponibilités de leurs patients. Les horaires sont donc souvent décalés : tard le soir, tôt le matin avant les heures de bureau…
L’adaptation au patient
Du nourrisson au sportif de haut niveau en passant par l’employé fatigué ou la personne âgée… les patients sont très différents. Au professionnel de tenir compte de leur état physique et de leur calendrier. Il peut aussi leur donner des conseils d’hygiène et de maintien.
Un travail d’équipe
Lorsqu’il est salarié, ce professionnel travaille parfois à la vacation, dans un ou plusieurs établissements (hôpitaux publics et privés, centres de thalassothérapie, de remise en forme…). Ce métier s’exerce en étroite collaboration avec les médecins, le personnel soignant et d’autres professionnels de la rééducation, comme les ergothérapeutes.
Contenu
Nature du travail
Le repérage de la pathologie
Le masseur-kinésithérapeute intervient souvent à la suite d’une entorse, d’une scoliose, de difficultés respiratoires… D’abord, il étudie le dossier médical (radiographies, ordonnances du médecin référent…) du patient et pratique un examen clinique pour définir les méthodes et les moyens à mettre en oeuvre.
Contact
Site de la formation
Informations supplémentaires
Débouchés
Le masseur-kinésithérapeute fait partie des nombreuses professions paramédicales qui manquent de personnels. En effet, le vieillissement de la population accroît le nombre de patients et les départs à la retraite des professionnels s’intensifient. Pour ces deux raisons, le métier devrait connaître un bel essor dans les années à venir, tant en libéral que salarié.
Les débouchés varient d’une région à l’autre. Pour s’installer en libéral, mieux vaut éviter l’Île-de-France et le Sud, déjà saturées, et choisir une zone rurale, le Nord ou l’Est de la France par exemple.
Avant d’investir dans l’achat ou la reprise d’un cabinet, un masseur-kinésithérapeute débute souvent par des contrats précaires, des vacations (parfois saisonnières) dans les établissements de soins. Les remplacements en cabinet sont également nombreux. Ensuite, il s’associe souvent à des confrères ou à d’autres professionnels paramédicaux pour partager les frais d’installation.
Bonne résistance physique
Une bonne santé physique est requise pour manipuler les patients, répéter les exercices et réaliser les massages… tout en restant debout une bonne partie de la journée.
Écoute et patience
L’écoute et la patience sont également indispensables pour travailler efficacement avec des personnes parfois lourdement handicapées, des enfants…
Le masseur-kinésithérapeute doit donner confiance au patient, l’encourager à persévérer, le rassurer et le soutenir en cas de démotivation.
Bon mental
Un bon équilibre personnel se révèle par ailleurs nécessaire pour travailler avec des personnes en souffrance (accidentés de la route par exemple). Le masseur-kinésithérapeute doit savoir transmettre son dynamisme et son enthousiasme.