La presse en péril, 48h pour l'Emploi et la Formation...

Newsletter 187

Heureusement que les sportifs pensent à nourrir la rubrique faits divers ! Comment aurions-nous de leurs nouvelles sinon ? Entre les footballeurs, dont on ne voit plus que le maillot pour des coupes nationales sur les chaînes gratuites, les rugbymen qui s'emplafonnent durant le tournoi des VI Nations ou pour la finale du Top 14, en clair, et désormais les pilotes de Formules 1, il devient quasi impossible de voir du sport gratuitement à la télévision. Du moins en ce qui concerne les sports les plus populaires. Evidemment, on nous servira encore du patinage artistique, deux-trois échanges de fond de court sur l'ocre de Roland Garros, un peu de JO tous les quatre ans, ou du ski, le dimanche, et du vélo, l'été, entre deux contrôles antidopage et scandales associés. Car oui, désormais, il vaut mieux avoir les moyens de payer un abonnement à une chaîne payante pour voir s'ébattre les idoles d'aujourd'hui. Mais à ce rythme, le resteront-ils longtemps ? Puisque la télé fait la popularité, ne plus les voir qu'en crypté risque de salement déteindre sur leur image voire de l'éteindre. Puis au fil du temps, d'autres compétitions, d'autres sports finiront par subir la sacro-sainte loi de l'économie et du profit. A moins qu'un engouement soudain ne remplisse les stades, qui ne manqueront pas eux aussi d'augmenter leurs tarifs d'entrée. Plutôt que de regarder derrière son petit écran, mieux vaut finalement prendre ses jambes à son cou, et pratiquer soi-même une activité physique, et retrouver l'essence du sport.
Heureusement, comme dit précédemment, les sportifs sont malins et pour entretenir leur visibilité vers le plus grand nombre, ils nourrissent les chroniques des journaux télévisés à coup de scandales de tout type. A moins que le téléspectateur ne finissent par éteindre sagement son petit écran pour alimenter son univers d'autres aventures que d'images pré-mâchées... Et peut-être prendre en main son avenir professionnel en feuilletant les pages du site L4M.

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Salon « 48 Heures pour lEmploi et la Formation » de Dunkerque

Voilà lévènement à ne pas rater ! Le salon « 48 Heures pour lEmploi et la Formation » aura lieu le jeudi 7 mars et le vendredi 8 mars 2013, à la CCI Côte dOpale agence de Dunkerque de 9h30 à 12h30 et de 14h à 17h. Loccasion pour vous de dynamiser votre carrière grâce à 2 journées thématiques !

Le jeudi 7 mars, plus de 500 postes seront à pourvoir dans les secteurs de lindustrie, de la banque/assurance, de lénergie, du commerce ou de la grande distribution. Venez donc rencontrez lors de cette journée dédiée à lemploi les recruteurs dArcelorMittal, Carrefour Market, CIC Nord-Ouest, ERDF, Lefranc, Chronodrive et bien dautres.

Le lendemain, le vendredi 8 mars, les acteurs de la formation seront à lhonneur. Venez vous informer sur les formations et les services proposés par le CNAM Nord-Pas de Calais, Maestris, Campus Pro Littoral, Thalasssun Formation, CIBC Flandre Maritime, Esupcom, etc. La journée sera également rythmée par des conférences et des ateliers pratiques, destinés à vous apporter des renseignements concrets sur la VAE, le bilan de compétences, l'alternance, mais aussi des conseils pour réussir son entretien d'embauche. Vous pourrez aussi faire évaluer gratuitement votre niveau d'anglais.

Pensez dès à présent à préparer votre visite grâce au salon virtuel www.48h-emploi-formation.com, sur lequel vous découvrirez en exclusivité la liste des exposants, les postes à pourvoir, les formations proposées et le programme des conférences et des ateliers. Un outil indispensable pour une visite efficace !

De limprimé à lécran, lindustrie de la presse en péril ?

Génération addicte aux nouvelles technologies, on a tendance à délaisser les médias plus classiques. Ainsi une grande question se pose : que va-t-il se passer si les écrans remplacent les imprimés ?

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Fiches métiers

Le dessinateur de presse donne son point de vue sur lactualité en image.

Le pigiste est un journaliste rémunéré à larticle.

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Interview : Richard Roussel, peintre et illustrateur

Richard Roussel est un autodidacte. Dabord responsable financier il a fini par abandonner cette activité au profit de lillustration, un métier qui est pour lui une passion.

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